D’abord, commençons par l’histoire rattachée à ce jour. Autrefois appelé jour de l’Armistice, il rappelle la fin de la Première Guerre Mondiale (1914-1918) qui a eu lieu un 11 novembre à 11 h.
En 1931, le gouvernement fédéral donna officiellement le nom de « jour du Souvenir » à cet événement. Les cérémonies se déroulent généralement devant les monuments commémoratifs de guerre et traditionnellement on observe 2 minutes de silence, on interprète la « Dernière sonnerie », on récite le poème « Au champ d’honneur » et on porte le coquelicot.

Pourquoi le coquelicot?
Cette belle fleur rouge enjolivait les champs de bataille durant la Première Guerre Mondiale. Les coquelicots envahissaient aussi souvent les fosses communes laissées par les batailles. Cette fleur est devenue le symbole du « jour du Souvenir ». La Légion canadienne l’adopta en 1925, comme emblème qui se porte sur le revers gauche et près du cœur pour rendre hommage au sacrifice des soldats en temps de guerre. Encore aujourd’hui, on peut en retrouver lors de cette journée et sachez que les profits des ventes servent à répondre aux besoins des anciens combattants.


Et maintenant, de quoi (de qui) faut-il se souvenir?
Les guerres ont influencé (influence encore) de près ou de loin tous les Canadiens, même si pour certains la guerre est un phénomène vu à travers les différents médias, loin du quotidien et de leur vie. Pendant cette journée, nous commémorons aussi les morts de la Deuxième Guerre mondiale, entre autres.
Sources :
Musée canadien de la guerre, Anciens Combattants Canada et Légion royale canadienne
https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/jour-du-souvenir
Josiane
Novembre 2020